Hello amigo. Comment ça va aujourd’hui ? Tu as sûrement remarqué au fil des articles que je change régulièrement de phrase d’intro. C’est surtout parce que je suis sans cesse à la recherche d’un truc qui me plaît. J’ai envie de m’adresser à toi comme si je parlais à un(e) ami(e). Je trouve que ça donne au texte un aspect plus naturel. Tu n’es pas d’accord ?
Quoi qu’il en soit, on se retrouve dans cet article pour la continuité de ma review sur le manga Dernière Heure. Ce manga est écrit par Yû et il est édité chez Akata.
Synopsis du troisième tome
Hasegawa revient du front avec une étrange révélation : les ennemis que combattent les adolescents ne semblent pas être ce qu’ils croyaient… Tandis que le trouble s’installe au sein de l’établissement scolaire, mais aussi du quotidien des collégiens, le danger se rapproche. Ni vu ni connu, les adversaires infiltrent les rangs des jeunes innocents.
Ma review du tome 3
Dire qu’on est déjà à l’avant-dernier tome. Cette série est courte mais qu’est-ce qu’elle est poignante. Et je crois que jusqu’à la fin, je resterais fan du style graphique de l’œuvre. Tu peux retrouver ma précédente review sur le tome 2 ici.
Pour ce troisième tome, je l’ai trouvé beaucoup plus intense que les deux précédents. Comme pour le tome 2 où je me posais beaucoup de questions, pour ce tome, le mystère est encore plus présent. Une mystérieuse peluche en forme de lapin observe continuellement nos personnages et on a envie d’en savoir plus. J’ai bien aimé dans ce tome en apprendre un peu plus sur la divinité du dieu Monokami. Dans ce tome, l’auteure tente de nous expliquer plusieurs éléments qu’elle rattache à la guerre qui est toujours une période dure, lourde et périlleuse à vivre. Entre les chapitres, j’aime toujours découvrir des nouvelles recettes de Miyako Aishima. C’est un personnage d’une telle douceur et son objectif de donner le sourire à ses camarades juste avec ses plats montre bien sa grande générosité.
Cependant dans ce tome, en tant que lecteur, on assiste à de véritable ascenseurs émotionnels. La nourriture a réussi à me faire saliver et me faire sourire quelques instants mais au fil des pages, je l’ai perdu presque instantanément. L’histoire du personnage de Miyoshi, un garçon passionné par l’art plastique est tellement poignante. Des propos justes mais vraiment dur. Mais grâce à son histoire, on a une légère révélation sur cette mystérieuse peluche lapin. Est-ce un esprit maléfique ? Un diable ?
Quelques amourettes concrètent pointent le bout de leur nez au fil de l’histoire ce qui apporte un peu de douceur malgré le contexte cruel de la guerre.
En résumé, la guerre continue toujours son cours, chaque vendredi. Certains élèvent parviennent à en revenir vivants tandis que d’autres meurent. Ceux qui survivent font du mieux qu’ils peuvent pour ne pas s’apitoyer et garder le moral. Ce tome est à la fois doux, intense, sombre et douloureux. Mais pourtant, tu continues de le lire parce que tu veux savoir le dénouement.
Je te propose de découvrir la fin dans le décryptage du quatrième et dernier tome. Je te livre toujours mes impressions de lecture sans trop te spoiler pour que tu te fasses toi-même une idée du tome. Même si je reconnais que dans cette review, j’en ai dit un peu plus que d’habitude. Mais pour ma défense, il y a pas mal d’élément à expliquer, c’est des débuts de révélations et forcément, je ne peux pas passer à côté de ça !
Et toi tu as déjà lu ce manga ? Si c’est le cas, n’hésite pas à me donner ton avis sur ce troisième tome. On se retrouve prochainement dans le décryptage du quatrième tome ou dans un nouvel article !
Novaish. ©