[Review] Nos C(h)oeurs évanescents – Tome 4

Hey salut amigo. Comment ça va aujourd’hui ? Je ne sais pas pour toi mais de mon côté, je n’ai réellement pas vu le mois de juillet passer. Il a vraiment filé à vitesse grand V. C’est fou de se dire qu’on est tout proche du mois d’août déjà. C’est dingue comme le temps défile… En ce moment, je me replonge clairement dans une lecture que j’avais aussi débuté en été. Il s’agit d’un manga où j’ai dévoré 3 tomes. Je parle du titre : Nos C(h)oeurs évanescents édité chez Akata. Il était temps que je le reprenne tant la poésie de cette œuvre m’avait manqué.

Je viens de m’avaler ce quatrième tome soit 204 pages de lecture numérique. Le tout sans même m’en rendre compte. Sur ces doux mots, prêt(e) à découvrir la suite de cette histoire ?

Synopsis – Tome 4

Malgré l’absence d’Aoi, qui n’arrive plus à chanter, la chorale de son collège a réussi à se qualifier ! Motivés comme jamais, ses membres redoublent d’efforts, et ça, même pendant les vacances d’été. En effet, il ne leur reste plus que quelques semaines pour se préparer, et leur faudra fournir de nombreux efforts, car la compétition s’avère particulièrement compliquée.

Mon opinion de lecture – Tome 4

J’ai pris tellement de plaisir à me replonger dans cette œuvre poétique. L’autrice Yuhki Kamatani nous propose un volume riche tant dans ses visuels que dans sa narration. Notre protagoniste Yukata Aoi a complétement déserté la chorale. Cette dernière ne se relâche pas et accroît ses performances, mais l’absence du jeune soprano pèse et se fait ressentir. L’œuvre met l’accent alors sur le personnage de Mariko, une camarade assez timide, qui peine à exprimer clairement ses émotions et cette dernière brave ses différents blocages pour proposer de ramener Yukata à tout prix dans la chorale. Avec une autre amie, Machiya, elle se livre un échange lui permettant d’aller de l’avant. Je l’ai d’ailleurs trouvé très profond. Et l’autrice aime beaucoup utiliser des métaphores pour accentuer cette profondeur.

Le troisième tome de Nos C(h)oeurs évanescents était légèrement plus sombre où Aoi s’est trouvé en proie à ses démons et devait jongler entre la chorale, la troupe d’opéra et sa rencontre avec Vladimir, un prodige russe l’a déboussolée au point qu’il en perde l’envie de chanter. L’absence du protagoniste principal pendant une partie du tome devient à la fois un enjeu et permet à d’autres personnages de briller et d’être mis un peu plus sur le devant de la scène comme l’adorable Mariko Ise. Ce quatrième tome est l’antithèse du précédent. L’optimiste montre crescendo, le tome aboutissant sur un vent tournant d’espoir et qui relance la destinée de la petite chorale.

Ce tome montre également à quel point les membres du groupe au sein de la chorale sont soudés. Ils sont tous complémentaires et évoluent ensemble. Pour illustrer ses propos, l’autrice nous noie de figures de style visuelles et de musicalité narrative.

En bref, ce quatrième tome est aussi touchant que ces prédécesseurs. On découvre aussi les doutes de Vladimir qui sombre lorsque notre protagoniste japonais Aoi, s’ouvre à lui et lui dévoile ses ressentis face à sa voix.

L’histoire continue de mûrir, de s’approfondir, d’être haute en féerie. Cette série ne manque pas de me faire rêver. Et il me tarde d’en apprendre plus sur le frère de Yukata, Minoru.

Cette review touche désormais à sa fin et je te remercie de l’avoir lue. On se retrouve prochainement dans un nouvel article amigo. Pense à suivre le blog et reste à l’affût de mes réseaux sociaux pour te tenir au courant et ne rien rater !

Novaish. ©


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