Novaish

Hey salut amigo. Comment ça va aujourd’hui ? Comme tu peux le voir en ce moment, je suis vraiment dans ma lancée sur la review du manga The Promised Neverland. A l’heure où j’écris cet article, il y a 9 tomes qui sont sorti et le 10^ème est prévu pour octobre. J’ai une légère impression d’accumuler énormément de retard d’où l’énorme présence de review sur le blog. L’œuvre est toujours écrite par Kaiu Shirai et dessiné par Posuka Demizu. Comme toujours amigo, pour éviter de te perdre, je te laisse lire ma précédente review sur le tome 5. L’alerte spoiler est toujours au rendez-vous. Te voilà prévenu(e).

Tome 6 – B06-32

Au milieu de la cavalcade, une mystérieuse silhouette surgit devant les enfants paniqués : amie ou ennemie ? Quant à Ray, qui s’était élancé seul afin de détourner l’attention du démon bestial, le voilà acculé par un groupe de démons aussi véloces que terrifiants… C’est alors qu’un cavalier surgit et l’enlève in extremis !

Tome 6 – Mon opinion

Si le tome 5 était plaisant à lire, ce sixième tome est riche en révélation. Les mystérieux sauveurs de Ray et Emma ont un visage et décident de leur raconter une vieille histoire. Un monde scindé en deux suite à un pacte entre les humains et les démons. Vu que nos protagonistes se retrouvent sur le territoire des démons, voilà la cause de l’environnement aussi hostile.

Grâce à Mujika et Sonju, le groupe parvient à rester cacher et d’apprendre des techniques de survie comme la cuisine, la chasse ou la cueillette d’herbe médicinale. Par la suite on apprendra que ces personnages ont des motivations bien différentes en particulier Sonju. Dans ce tome, c’est aussi l’heure du point de rencontre avec William Minerva.

En conclusion : Il y a peu d’action dans ce tome mais une richesse de description sur l’environnement et sur le monde où vive notre groupe. Je sens que dans le prochain tome, nos héros ne vont pas être ménagé et vont découvrir de nouvelles révélations.

J’espère que tu seras toujours là pour suite la suite des reviews amigo. C’est plaisant à écrire vraiment. On se retrouve dans un prochain article !

Novaish. ©