
Hey salut amigo. Comment ça va aujourd’hui ? Si tu viens de débarquer sur mon blog ou de me découvrir, laisse-moi te souhaiter la bienvenue et une agréable lecture.
J’espère que tu as passé une excellente semaine ou week-end (en fonction de quand tu me lis). En ce qui me concerne, j’ai la tête qui déborde d’idées en quête de différents side projects à développer et je suis sans cesse en train d’apprendre dans le but d’intensifier ma croissance personnelle.
Pour beaucoup, le mois de juin symbolise l’approche des examens, l’arrivée de l’été… C’est important de se rendre compte que c’est également la moitié de l’année ! Si tu devais faire un point avec toi-même, est-ce que tu penses que tu avances par rapport à des objectifs que tu t’es fixé ou tout l’inverse ?
Dans cet article, j’aimerais avant tout te parler de la culture de l’échec et comment l’appréhender. Si jamais tu es prêt(e) à poursuivre, on enchaîne !

Pour bien démarrer, garde une trace de tes journées
C’est quand la dernière fois que tu t’es demandé si tout allait bien dans ta vie ? Pour survivre à tes journées effrénées et prenantes, il est important de prendre soin à la fois de ta santé physique mais également de ton mental.
Généralement, être dans la peur de l’échec te paralyse dans tes actions et te draine énormément d’énergie. C’est pourquoi, je te recommande de faire attention à ce que tu laisses entrer comme information pour ton cerveau. Ce dernier ne fait pas la différence entre le fictif et la réalité et plus tu vas le stimuler dans le négatif, plus le négatif deviendra réalité.

Comprendre l’échec
Depuis l’enfance, on te matrixe l’esprit en voyant l’échec comme un gros mot. Je suis sûre qu’en faisant tes courses, tu as déjà entendu des parents ou des personnes aux alentours dire cette phrase : « si tu négliges tes études, tu finiras caissière ». Un message qui en plus d’être dévalorisant, est un tissu de mensonges. Sache qu’il n’y a pas de sous-métier et que tu peux être et devenir tout ce que tu souhaites (bon bien sûr, la médecine sans étude, ça se discute en revanche). Échouer, c’est inconfortable, ça peut faire mal. C’est nécessaire pour apprendre. Le succès n’arrive jamais sans échec. J’en parle d’ailleurs rapidement dans cet article.
Il y a un livre que je te recommande de lire. C’est une vraie petite pépite. Il s’intitule les vertus de l’échec de Charles Pépin. Dans ce dernier, tu apprends des leçons sur l’échec qui te font voir la notion d’une autre manière et sans culpabilité.
L’auteur du livre fait d’ailleurs la différence essentielle entre soi et l’échec. Il faut faire la différence entre avoir raté et être un raté. C’est ce qui va permettre de faire la différenciation entre l’expérimentation d’une humiliation ou de vivre une expérience enrichissante.
L’échec, c’est un signe qu’on a tenté. Tu es sorti de ta zone de confort, tu as pris des risques, notamment celui d’échouer. Je vois l’échec comme un mentor car en prenant du recul, je vais chercher à comprendre ce qui n’a pas fonctionné et explorer des nouvelles pistes d’amélioration. C’est un processus d’apprentissage. Lorsque tu te formes dans un domaine, tu vas rater, apprendre de tes erreurs jusqu’à finalement réussir grâce aux compétences acquises.

L’échec, c’est ta chance !
Donc pour débloquer une bonne fois pour toute ce truc qui coince, laisse-moi juste te dire une chose amigo, n’aie pas peur d’échouer. Que tu le veuilles ou non, c’est un passage obligé et ça va te servir de tremplin pour mieux rebondir par la suite. Pour apprendre, tu as besoin de te planter. C’est comme ça que ton cerveau fait des nouvelles connexions neuronales. Pourquoi ? Pour ne pas que tu restes un(e) parfait(e) imbécile.
Bref, pour terminer n’oublie pas cette citation légendaire de Nelson Mandela qui dit : je ne perds jamais. Soit je gagne, soit j’apprends.
J’espère qu’avec tout ça, tu finiras par devenir copain avec l’échec amigo. On se retrouve dans un prochain article. N’oublie pas de suivre le blog et reste à l’affût de mes réseaux sociaux pour te tenir au courant et ne rien rater !
Novaish. ©